Archives de Catégorie: Nos articles

MOTION SUR LES ETUDIANTS ETRANGERS A METZ

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Le 31 mai dernier, le gouvernement a publié une circulaire sur la maîtrise de l’immigration professionnelle durcissant les conditions de séjour des étudiants étrangers en France et la possibilité qui leur est offerte de passer du statut d’étudiant à un statut de salarié.

Metz compte 3000 étudiants étrangers (15% des effectifs). Ces étudiants jouent un rôle majeur dans le paysage local. Ils sont très présents dans les filières scientifiques notamment la mécanique (en lien avec le projet IRT sur les matériaux) et très impliqués dans la vie associative et locale. Demain, ce sont les futurs ambassadeurs de notre ville et de notre pays.

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Une visite du chantier Mettis vous réconcilie avec les chantiers

Nous étions 40 militants ou plus intéressés par le mettis pour comprendre et suivre l’avancée des travaux de ce moyen de transport en « site propre ». Pris en charge par Ch. Pallez (j’étais assis non loin de ses parents) et les organisateurs de ce samedi matind’automne avec pour animateurs Dominique Gros et Pierre Thiercelin.
Passionnant sur le contenu de la visite et exemplaire sur la méthode : les militants considérés comme acteurs sont plus à même de faire passer des messages dans leur quartier ou village.

Notre maire est passionné par ce chantier et stimulé par les difficultés que ce dernier engendre. En fait, on ne crée pas ou on n’améliore pas seulement des voies et des moyens de transport mais on profite de ce chantier pour refaire les canalisations diverses et la voirie (c’est de la remise à neuf !). C’est un projet structurant et de rénovation de la ville ambitieux qui se veut un projet de rattrapage de tout ce qui n’a pas été entrepris les dernières décennies.

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La dictature des banksters

Non à ce projet de traité scandaleux instaurant une dictature des banksters

Pas de nouveau traité européen sans référendum

Nicolas Sarkozy nous affirme que le nouveau traité européen dont il a défini les principes avec Angela Merkel – hors des instances de l’Europe – “protégera” la population française. Peut-on mentir davantage ?

Il nous “protégera”, comme sa politique d’agression contre nos retraites, notre assurance-maladie, nos allocations, nos conditions de travail et nos salaires, “protège” « notre modèle social ».
Il nous “protégera”, comme sa politique de distribution de dizaines de milliards d’euros aux banques sans la moindre contrepartie en 2008-2009 et la baisse des impôts des ménages les plus aisés et des sociétés nous a “protégé” d’une augmentation de la dette publique de 57 % du PIB en 2002 à 87 % en 2011. C’est Sarkozy qui a creusé la dette de 23 points, 196 milliards de recettes en moins en 2009, 5 ans de pertes de recettes non compensées.

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Un sondage éclaire d’ambiance un présent, jamais l’avenir

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Thomas Scuderi

Alors qu’un sondage IPSOS pour le journal Le Monde (à la Une de l’édition de jeudi 24/11/2011) « montre que les Français portent un regard désolé sur la jeunesse », il nous revient de faire le tri entre impressions et réalité.

Lorsqu’on juge de la valeur de la jeunesse, ne doit-on pas se poser une question plus large, celle de la transmission de valeurs ? La jeunesse n’est-elle pas le reflet d’une société ?
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François Hollande, « il faudra reprendre la question grecque »

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18h20

François Hollande, candidat PS à la présidentielle: «le premier ministre grec soumet cette question référendaire au Parlement grec. C’est son droit. C’est la légitimité du peuple grec d’être consulté, si le Parlement l’accepte». «Je n’ai pas à juger ici d’une procédure. Je constate qu’elle a des conséquences. Il faut donc que l’Europe puisse, si ce référendum était décidé, accompagner ce processus pour qu’il se termine bien.»

«Si le référendum n’est pas décidé, de toutes façons, il faudra reprendre la question grecque, car on a bien compris qu’elle n’était pas vraiment réglée y compris avec le dernier sommet européen.» «Il est tout à fait important que les Grecs soient mis devant leurs responsabilités, sous une forme ou sous une autre, référendum ou pas, et que les Européens soient conscients que la question grecque n’est pas aujourd’hui réglée»

«La grande critique qu’il faut adresser: cela fait 18 mois que la question grecque est posée aux Européens, et après 18 mois de tergiversations, d’hésitations, d’un premier plan puis d’un second, nous constatons que le gouvernement grec est dans une crise politique. Il y a là une responsabilité sans doute des Grecs mais aussi de ceux qui dirigent l’Europe», juge-t-il.